mardi 2 février 2010

Le fantôme de l'Opéra.

On pourrait croire qu'elle a juste 16 ans, avec sa frange, son sourire naïf et son foulard noué autour du cou. Encore une gamine qui fait du folk. Bah... oui.
Sa maman pourrait être Julie Doiron, ou Feist, elles ont les mêmes franges. Elle aussi elle joue de la guitare électrique et elle fait des courtes et charmantes chansons, pas très bien enregistrées.
Golden Ghost, c'est délicat et tout doux, un peu triste aussi. Avec des chœurs à quelques endroits, des cordes à d'autres, une voix pas fondamentalement magnifique, mais qui parle, qui raconte, qui charme. Un thème revient tout au long du disque entrecoupé par des petits bijoux folk comme ceux qu'on aimerait avoir toujours sur soi, au cas où.

L'album s'appelle The Unimaginative Body, et il prouve une fois de plus, que le folk de fille, c'est ce qu'il y a de mieux.

Tu peux l'entendre sur Daytrotter si tu veux, en cliquant là.

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